Direction, retour Katmandou

( 12 mai 2014)

Ce matin nous quittons Patan pour retourner à Katmandou.Suman doit venir nous chercher vers 10:00hre. Nous allons prendre notre café à notre petit Yala café pour la dernière fois.

Direction, retour Katmandou

Notre ami Dan est la et nous le remercions du bon service qu’on a eu. Réglé comme un horloge, à 10:00hre. notre ami Suman arrive. Il est toujours de bon humeur et à le don de nous faire rire. Nous procèdons à une séance de photo sur le Durbar Square, Suman tiens absolument a avoir un souvenir.

Nous en profitons pour prendre également une photo du gentil gérant du Yala hôtel, toujours serviable et souriant.Il me demande d’écrire dans son livres d’hôte, une petite note sur notre appréciation de l’hôtel. C’est volontier que je le fait, nous avons vraiment aimé la place et merveilleusement bien situé, d’ailleurs c’est le seul hôtel directement sur le Durbar Square. Après nous rejoignons notre taxi qui nous attend aux portes du Square. Un petit Suzuki, magané, intérieurs de portes arraché, et sans être un bon mécanicien (à vrai dire chu nul en mécanique) juste à entendre le bruit que son volant fait quand il tourne, je peu dire qu’il est temps de rajouter de l’huile à power stearing.
Un peu plus tard, de retour dans Katmandou la pollué, on est poignée encore dans le trafique. C’est incroyable l’émanation des gaz rejeté par les véhicules. Les gens y peuvent ben passer leur temps à cracher.

*****<< Avis au cœur sensible, veillez vous abstenir de lire les prochaines lignes, car elles comportent un langages cru à la limite du mal de cœur >>
Je me rappelle vous avoir parlez des gens en Indes qui se racles la gorges pour cracher, et bien ici c’est la même chose qui se produit. Pis je pense qu’ils sont capable d’aller chercher ça plus loin encore. Mais le champion toute catégorie, c’est notre ancien gérant de l’hôtel à Bhaktapur, lui c’était tout les vingts minutes. Il commençait par se « gourmer » par le nez, en raclant tout se qu’il peut contenir, et continuait sur un même élan en allant se racler la gorge, il mélangeait le tout et quand il crachait……..on sentait qu’il en avait plein la bouche. S’il n’y avait que ça. Évidemment un gourmage de cette nature se doit d’être fait dans les normes, avec un niveau de sonorité élevé, pour que tous dans les environs sache, c’est qui le mâle dominant.
*****<< Cœur sensible, reprendre la lecture ici >> Vous vous demandez certainement ou je veux en venir avec cette démonstration. C’est simple, tous les jours, au delà de 50 fois, nous voyons ou entendons les gens, de tout âges, hommes, femmes, enfants se racler la gorge et cracher au sol. (Seul les jeunes filles semblent avoir de la retenue). Quand c’est le temps de cracher, certain vont le faire avec un minimum de retenu, mais d’autre y vont au hasard de la route, si bien que lorsqu’on entend racler, on surveille de quel direction vas venir le projectile. C’est depuis notre arrivé en Inde que le cracha des gens, fait parti intégrante des bruits associés à l’Asie. C’est moins pire au Népal. De retour chez nous, lorsque nous entendrons quelqu’un cracher, involontairement nous penserons à l’Asie, les champions du crachât.
Mais, la triste réalité dans tout ça, c’est que ces gens son des victimes. Victimes d’un air vicié. Victimes d’une pollution extrême. Victimes de ça propre croissance démographique. Victimes d’habiter une ville surpeuplé. Victimes d’avoir un espérance de vie de 66 ans. Ce sont des victimes….de la vie. << Et puis tiens! moi aussi je cracherait bien au sol >>
Notre taxi nous conduit au Potala Guesthouse situé en plein cœur du quartier de Thamel. Nous avisons Suman que les chambres à 4000 roupis sont trop cher pour notre budget. Il vas négocier pour nous et reviens avec un coût de 2000 roupis la nuit si nous restons les 6 jours. Ça nous conviens. C’est ici que Suman nous quitte, nous réglons avec lui ces dépenses et ces déplacements. Ils semblent nous apprécié autant que nous l’apprécions. C’est des poignées de mains, des accolades, il nous serres dans ces bras. Autant les Népalais peuvent être réservés, autant il peuvent être démonstratif. On nous avait dit de Suman, « n’est pas peur tu vas voir, il vas vous dorlotez ». C’est bien se qu’il a fait. Ce que nous avons aimé le plus de Suman, c’est qu’il nous considérait comme ces amis et non comme des touristes. Nous allons garder une petite place dans nos cœurs pour un Népalais apellé Suman Thapa.  Dans l’après-midi, une tâche importante m’attend, je dois trouver des billets d’avion pour l’Australie. Pour avoir un accès plus rapide avec l’Internet, je me rend dans un cyber café et pour 35 roupis l’heure je peu faire mes recherches. (.42 cent/hre) Les billets les moins cher je les obtiens par l’entremise d’Expedia une agence française. Imaginé, nous Canadien, nous trouvant au Népal, par l’entremise d’une compagnie Française, on s’envolent pour l’Australie avec Air Malésia. Je trouve ça assez cocasse. On termine la journée la dessus avec une bonne bière. Oui, le régime à l’eau est fini, on passe au régime de bière (MON régime).

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